Les aérodromes sont parfois difficilement accessibles ou très loin du centre ville. Il faut donc prendre certaines précautions, surtout lors d'un départ en heure de pointe ou en cas de correspondance. Ainsi, il faut bien s'assurer de l'aérogare d'embarquement : à Paris ce peuvent être Orly-Ouest,
Orly-sud, Roissy
Charles-de-Gaulle 1 et 2. Chaque
compagnie a généralement le même secteur, mais celui-ci peut être immense : à Kennedy-New York, chaque société américaine a son propre terminal. Une heure limite d'enregistrement figure toujours sur le billet, c'est le moment au-delà duquel l'enregistrement des bagages et des passagers ne peut plus être effectué : cette heure doit impérativement être respectée. Passé ce délai, aucune
assurance d'embarquement n'est possible. Chaque transporteur, suivant ses impératifs techniques, impose une heure limite d'enregistrement différente : elle va de 30 à 90 minutes. Au départ de Paris, les vols intérieurs ne nécessitent qu'une arrivée relativement tardive (de 20 à 45 minutes avant le départ), les vols a longue distance exigeant en revanche plus de temps de préparation. A signaler : les vols en direction d'
Israël imposent une heure limite d'enregistrement particulièrement avancée, d'imposants contrôles de sécurité étant pris. Il faut également noter avec soin l'aérogare d'arrivée ou d'embarquement en cas de correspondance. Chaque grande ville (
New York,
Londres,
Washington,
Paris,
Bruxelles, etc.) ont, en effet, plusieurs aéroports, chacun étant désigné par trois lettres codes. Ainsi pour
New York l'aéroport
Kennedy devient « JFK ». Parfois ces codes sont assez compréhensibles, parfois ils sont sans rapport avec le nom de la ville, « MSY » pour la
Nouvelle Orléans. Ces codes figurent sur tous les billets et sur toutes les étiquettes à apposer sur les bagages. Les aéroports sont toujours reliés à un point du centre de la cité par une liaison, soit en
autocar, soit en train ou en métro. Les distances peuvent être grandes : 32 kilomètres pour l'aéroport de Colombo, 43 kilomètres pour
Washington International ou 54 kilomètres pour
Montréal. Rares sont les aéroports en ville comme à
Boston,
Nice ou
Palerme. La majeure partie des compagnies locales assure un service d'autocars réguliers entre l'aérogare et le centre ville. Sauf si l'on est pressé, il faut être très prudent avec les taxis lors de l'arrivée : souvent le marchandage est de règle et les compteurs inexistants. Comme, bien entendu, l'on manipule mal l'argent local, les abus sont fréquents.
Date de création : 29/10/2006 16:01
Contributions de Chantal

Aéroport
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